Deux poids deux mesures.
La Commission de justice (COJU) du Grand Conseil valaisan publie un rapport dans lequel elle évoque deux encaveurs. Dans le premier cas, elle prend soin de protéger la sphère privée de la personne concernée, évoquée uniquement par ses initiales (S.S.). Dans le second cas, elle s’oublie et cite nommément Dominique Giroud. Pourquoi la COJU viole-t-elle la sphère privée de Dominique Giroud ?